TORSTEN SCHWANKE
PREMIER CHANT
Chante, ma chère muse,
Pour moi par Renard, l'intelligent!
Je vais dédier mes vers
Juri, le fils de mon coeur.
Je vais le dire de l'agriculteur,
Qui avait des fermes et des champs,
Le maïs et le blé, de verts pâturages,
Runzela était le nom de sa femme.
Déplacement dans la ferme
C'était une clôture pour protéger les poulets.
A savoir Renard, l'intelligent,
A fait l'amour avec du poulet pour le dîner.
Runzela, la femme de l'agriculteur,
J'ai parlé à Lancelin, l'agriculteur:
Fermier! Renard, l'intelligent,
Mangez-moi pour une douzaine de poulets!
Le fermier Lancelot a obéi
Sa femme paysanne et sa maîtresse,
Il a tiré la clôture autour de l'enceinte,
Pour protéger le poulailler.
Et le coq s'appelait Schantekleros,
Coq fort avec un peigne rouge,
Mais Schantekleros aimait
Des poules, surtout de la Pinte.
Oui, le coq de son harem
Les concubines de la grosse poule
Aimé souvent, longtemps et durement
Pinte surtout, le gros poulet.
Un jour, cependant, la grosse poule
Renard, l'intelligent, voulait
Le travail de Schantekleros
Et ensuite, prendre sa vie.
Renard a regardé l'épaisse clôture,
La clôture lui semblait trop épaisse et trop haute,
Mais un trou dans la clôture a été découvert
Renard, à l'affût de la situation.
Renard s'est faufilé dans le jardin.
Là, Schantekleros a marché
Au ralenti. Mais la grosse poule
Pinte a déjà protégé Renard.
Renard arrive! S'écria la poule,
Toutes les grosses poules criaient,
Fuite à grands cris
Dans le logement du poulailler.
Schantekleros ses poules
Un discours apaisant pour l'esprit:
„Aucun animal ne doit entrer dans ce jardin,
Pas les renards, pas les autres prédateurs.
Mais mes chères femmes
Et ma femme préférée, Pinte,
Priez le Dieu cher
Pour la vie de votre coq!
Car j'ai fait un rêve prophétique la nuit,
Que je sois dans le sang rouge!
Quoi qu'il arrive,
Mais je crains un grand malheur.
Que l'ange de Dieu
Protégez de l'ennemi maléfique!
Oh, je me sens si lourde,
Mon âme tremble!“
Maîtresse Pinte a dit, la Maîtresse
De son harem de grosses poules:
„Se faufiler sur l'herbe verte,
L'ennemi est probablement déjà dans le jardin.
Que le Seigneur Dieu nous protège,
Vous avant tout, mon seigneur et mari!
Je suis découragée et craintive,
Craignez les grandes misères de la mort!“
Schantekleros a parlé, le fort
Coq au peigne rouge flamboyant:
„Anxieux est toujours une femme
Que nous, les hommes, n'avons jamais eu peur.
Mais je l'ai déjà entendu,
Ce qui se passera dans un rêve,
Je l'ai vu il y a sept ans,
Aujourd'hui, elle doit se réaliser.“
Mais Maîtresse Pinte a dit:
„Mon seigneur et mari,
Sauvez-vous sur ce buisson d'épines,
Pensez à nos petits poussins!
Si tu venais à mourir, mari,
Si j'étais une pauvre veuve,
Tu dois pleurer le reste de ta vie,
Je me perdrais dans le monde.
Je suis découragée et j'ai peur,
Crains pour ta vie, mon amour,
C'est pourquoi je suis si plein de chagrin!
Laissez la clôture vous protéger!“
Renard: le fil de la clôture
Se pencher sur le côté, se glisser à travers,
Pénétrer dans le jardin vert.
Schantekleros s'est assis dans le buisson d'épines.
Renard a parlé avant le buisson d'épines
Au coq et dit astucieusement:
„Qui êtes-vous? Êtes-vous Sengel?
Coq, es-tu le fier du Sengel?“
Schantekleros s'est entretenu avec Renard:
„Sengel était mon cher père,
Mais je suis l'héritier de Sengel,
Je m'appelle Schantekleros.“
Renard Fuchs, l'astucieux, a dit:
„Mort est Sengel, mort est Sengel?
Je déplore la mort de Sengel!
Ce qui est honorable, c'est vraiment Sengel.
Car votre noble père était Sengel,
C'était un camarade de mon père.
Et votre père Sengel a squatté
Pas si haut sur un buisson d'épines.“
Schantekleros sur le coup
Il a battu des ailes
Du buisson d'épines à la pelouse,
Bienvenue au Renard rusé.
Battant joyeusement des ailes
Il a sauté joyeusement dans le jardin,
Était excité et plein de joie
Comment accoupler une poule.
En disant: „Ainsi m'a appris mon père,
Les amis sont toujours les bienvenus.“
Schantekleros était plein de joie,
Plus tard, il le regrettera.
Schantekleros chant à tue-tête,
Renard a pris la tête du coq
Entre ses dents acérées,
Le pigeon voyageur a pleuré de pitié!
Lancelin l'agriculteur a entendu
Son brouilleur de pin de poule,
Menaçant, il est entré dans le jardin,
Plein de rage à la poursuite du Renard!
Renard Fuchs s'est enfui dans la forêt.
Schantekleros, mais qui battent de l'aile
Il a encore sauté sur le buisson d'épines,
Pour y soigner sa blessure.
Mais en dehors du buisson d'épines
Schantekleros se moque de vous
Appelé le Renard pour ses paroles méchantes.
Renard a appelé au coq:
„Les imbéciles ouvrent la bouche comme ça,
Rien de sensé à dire,
Il serait préférable que vous vous taisiez,
Si je vous croyais sage.“
Mais Schantekleros chantait:
„Par le bon Dieu du ciel!
Dieu m'a abrité aujourd'hui,
Je suppose que je peux le dire tout haut.“
Mais Renard est passé à autre chose,
Presque mort de faim.
Mais en secret, il complotait pour se venger,
Renard, le coquin, le malin.
DEUXIÈME CHANT
Mais Renard a un jour regardé
Une belle mésange
Sauter sur les branches
D'un arbre vert de printemps.
C'est ce que Renard a déclaré:
„Le plus beau de tous les oiseaux,
Douce mésange, je désire
Un baiser de votre bec!
Voyez-moi la soif et le désir,
Je veux embrasser, je dis, embrasser!
Sois un amour pour moi, fidèle,
Donnez-moi un baiser de fidélité!
Un baiser, mon chéri et ma chérie!
Donne-moi une petite bouche douce.
On se fait un bec. On se fait une bise.
Bisous! Bisous! Bisous! Peck, peck!
N'oublie pas, ma chérie,
Oiseau aux seins dorés,
Que je suis le parrain
De vos petits nichons.
J'ai promis au Seigneur,
Our suivre Jésus-Christ
Et de renoncer au diable
Au baptême de mes parrains.“
Dit l'oiseau, la mésange:
„Renard, coquin et scarabée,
Je sais exactement ce que vous êtes
Et je ne peux pas vous faire confiance.
De nombreuses langues méchantes blasphèment
De mauvais mots sur Renard,
J'ai entendu tout cela,
Cela m'a touché au cœur.
Et je crains vos yeux,
Tremblez sous vos yeux,
Vous avez l'air de poignards,
Percer le cœur de ma poitrine.
Mais parce que vous demandez à des personnes dépendantes
Pour un baiser, pour un baiser,
Appelez-moi mon coeur, appelez-moi mon coeur
Et je jure par ma fidélité,
C'est pourquoi je vais t'embrasser,
Il veut vous embrasser pendant trois heures,
Il suffit de fermer les yeux,
Quand j'embrasse ton museau.“
Dit le mamelon, assis dans un arbre
De la terre pétrie de griffes,
Lâcher la terre pétrie
À la petite bouche rouge de Renard.
Et il s'est barbouillé les dents:
Jolies dents, rangée juste,
Maintenant, les taches de saleté tachent les dents,
Des dents noires, sales, puantes!
Renard a donc remarqué que la ruse
Ce n'est pas seulement le renard,
La mésange est également très rusée,
Le plus rusé des oiseaux!
Alors que Renard a ses dents
Nettoyé, nettoyé de la saleté,
La douce mésange s'est échappée
Avec la poitrine d'oiseau dorée.
Mais Renard a déploré Jésus:
„O mon Jésus, o mon Jésus,
Comment ai-je été trompé?
De la part des plus belles oiseuses!“
TROISIÈME CHANT
Renard avait de grandes connaissances
Et maîtrisait de nombreux arts.
Mais aujourd'hui, ce n'était pas son jour,
S'il devait lui arriver quelque chose.
Il a regardé dans un arbre
Un corbeau noir debout,
Dizzelin le nom de raven,
Ce corbeau était son neveu.
Et le corbeau gardé dans son bec
Un fromage, c'était délicieux,
Renard s'est léché le museau
De l'envie de fromage.
Renard a autorisé ce fromage
Ni le neveu, ni le corbeau,
Plein d'envie recherché Renard
Ce fromage pour vous.
Voulait tromper Renard
Son neveu pour le fromage.
Il a utilisé un mensonge,
Pour gagner le fromage.
Renard s'est adressé au neveu du corbeau:
„Êtes-vous Dizzelin le Corbeau?
Ô combien je suis heureux, mon neveu,
Que mes yeux puissent vous voir!
J'ai adoré vous entendre chanter,
Votre mère chante magnifiquement,
Votre mère ferme son bec
Debout, chantez l‘Ode à la Joie!“
A déclaré Dizzelin le Corbeau:
„Je ne dénigrerai jamais ma mère,
Parce que ma mère chante si bien,
Plus doux même que les rossignols!
Les rossignols fondent en douceur
De douces chansons d'amour,
Mais ma mauvaise mère
Chantez les paroles prophétiques de Dieu!“
Ainsi, le neveu corbeau
Il s'est ouvert le bec et a croassé.
Le fromage est tombé de son bec,
Il est tombé par terre sur les pattes de Renard.
Mais Renard s'est oublié,
Il avais oublié le fromage jaune,
N'a écouté que le coassement du corbeau
Et l'Ode à la Joie.
Mais Renard s'est souvenu,
Qu'il mange le corbeau,
Renard avait son neveu
Juste ce qu'il faut pour manger!
Renard s'est adressé au neveu du corbeau:
„O mon neveu, j'ai mal au cœur.
J'ai le cœur brisé.
L'amour a blessé mon cœur!
Et maintenant, je suis malade et fatigué,
Et je ne peux pas bouger,
Quand le fromage est devant ma bouche,
Le fromage pourrait me réconforter,
Mais je n'arrive pas à atteindre le fromage,
Parce que mon corps est brisé!
Descends de l'arbre, mon neveu,
Enfoncez le fromage dans ma bouche.“
Quand le neveu, le corbeau noir
De l'arbre jusqu'à Renard,
S'il veut l'aider par loyauté,
C'était déjà assez mauvais pour lui.
A pris Renard avec ses dents
Après le neveu du corbeau noir,
Rire: „Ma tante a dit,
Le sang est plus épais que l'eau,
Vous êtes de ma famille,
Nous sommes unis par la famille.
C'est pourquoi il faut avoir confiance,
Je veux juste ce qu'il y a de mieux pour vous.“
Arrachez-lui ses plumes noires!
Mais le corbeau s'est échappé.
Asseyez-vous sur les branches!
Renard s'est enfui en douce, déçu.
QUATRIÈME CHANT
Contre Renard, il y a un pas
Diebrecht, un chat sauvage.
Renard a dit: „O ma nièce,
Je suis heureux de vous voir en bonne santé.
J'ai entendu une rumeur,
Comment vous pouvez courir vite.
Laissez-moi voir vos compétences,
Entrons dans le concours.“
Diebrecht a parlé, le chat sauvage:
„Renard, c'est ma joie,
Que vous voulez être mon camarade,
C'est pourquoi je veux vous servir.“
Mais Renard a été très déloyal,
Loyal seulement envers sa propre étoile,
N'aimait pas la méchante fidélité,
Il n'était fidèle qu'à la beauté.
Et il a vu un piège
En chemin, il a parlé au chat:
„Hâtons-nous maintenant de trouver le chemin!“
Il aimait tellement la nièce.
Renard a parlé au chat sauvage:
„Laissez-moi voir votre force!
Regardez, il y a un chemin étroit,
Dépêchez-vous, chère nièce.“
Voleur, espèce de chat sauvage,
Elle savais moi-même ce piège,
Dit: „Protégez-moi Saint Georges
D'après les listes de Renard!“
Diebrecht a parlé, le chat sauvage,
A propos du piège,
Retour à Renard,
Salué Renard, ronronnant doucement:
„Renard, n'est pas un animal sur terre
Aussi vite que Renard, l‘intelligent!“
Renard a parlé au chat sauvage
Diebrecht: „Mais vous êtes plus rapide!
Pourquoi ne pas faire de grands sauts pour une fois
Comme les chiens vous suivent,
Sauter comme si c'était immédiat
Vous perdez les sept vies.“
Diebrecht a parlé, le chat sauvage:
„Je vais faire de grands bonds,
Mais je veux que Renard me suive,
Faites de grands sauts vous-même.“
Diebrecht a parlé, le chat sauvage:
„Qui peut sauter le plus haut?“
Renard rit: „Toi, mon chaton!“
Ils ont donc voulu se tromper eux-mêmes.
Diebrecht a sauté par-dessus le piège,
Renard a ensuite suivi le chat.
Le chat Diebrecht a renversé Renard
Et il est donc tombé dans le piège.
Le chat Diebrecht ronronne en se moquant:
„Renard, mon camarade,
Tu vois, maintenant tu es piégé,
Que le diable prenne le dessus!“
Le chat sauvage a donc rampé
Fuyez avec cette malédiction.
Renard a été pris au piège
Et il était à l'agonie.
Il pensait qu'il devait mourir,
Il a commandé l'âme á Jésus!
Voici que le chasseur est venu,
Celui qui a posé le piège.
Renard a promis au chasseur
Trente pièces pour le sauvetage.
Le chasseur est tombé dans le piège,
Ainsi, a sauvé Renard.
Renard a parlé à son âme:
„Trente pièces d'argent coûtent
Me sauver de la mort?
Ô combien la vie est chère!“
CINQUIÈME CHANSON
Renard avait échappé au besoin,
Maintenant, Isegrimm le loup est arrivé.
Quand il a trouvé Isegrimm le loup,
Renard a parlé au loup:
„Noble Seigneur, que Dieu te fasse miséricorde!
Je voudrais vous servir,
Vous et votre femme
La-Bouche-Cupide, la plus belle des femmes!
Notre-Dame La-Bouche-Cupide,
Je vote pour ma dame,
Vous voulez être le moindre de ses esclaves
Dans la religion de l'amour!“
J‘en ai entendu parler dans le monde,
Le loup fort que vous êtes détesté.
Mais emmenez à votre meilleur ami
Moi, le petit ami de ta femme!
Je suis intelligent et vous êtes fort,
Prenons tous les deux nos cadeaux
La-Bouche-Cupide pour le bien,
Votre force et ma ruse.
Par le caractère sacré du mariage!
Laissez-moi vous aider.
Je suis aussi rusé qu'Ulysse
Et avec de la ruse, vous pouvez vaincre des châteaux.“
Isegrimm le loup a discuté
A propos de cette proposition de Renard
Amitié fidèle avec la femme
Et les deux fils sauvages.
Et la femme et les fils
A convenu que Renard serait
Fidèle ami de la famille.
Cela s'est fait au détriment d'Isegrimm.
Renard a transformé son amour
A la maîtresse La-Bouche-Cupide,
Il l'a servie comme un servant de l'amour,
En la courtisant poliment.
Isegrimm le loup a stupidement
Renard donne confiance,
C'était déjà assez mauvais pour lui.
Isegrimm était souvent malheureux.
Isegrimm est parti un jour
Avec les deux fils sauvages
Dans tout le pays, sur les vols et les proies,
Pour voler de la viande pour La-Bouche-Cupide.
Quand le loup au travail
Pour le pain quotidien de la terre,
Renard, l'amour dans l'amour,
A courtisé Maîtresse La-Bouche-Cupide.
Isegrimm a vraiment atteint
Un mauvais camarade.
Déloyal envers le nom de son ami,
Il est rusé de tout son être.
Renard a parlé à sa dame:
„Ô la plus belle des femmes!
Tu auras l'air miséricordieux
A la douleur de mon amour!
Une misère indicible s'empare de moi
Et transpercez mon cœur avec des épées!
L'amour me coupe le souffle!
Je vais mourir d'amour!“
Mais La-Bouche-Cupide, la maîtresse,
Dit sans aucune pitié:
„Ne me parle pas de ton amour,
Je suis le loup de mon loup!
Isegrimm, mon mari,
Il a un si beau corps,
Que j'aime regarder les autres hommes
Renoncer sans douleur.
Mais prenez l'affaire en main,
Que je voulais en aimer un,
Un autre homme que le mien,
Alors, ne soyez pas une telle mauviette!“
Mais Renard soupire tristement:
„O, vous êtes une maîtresse très stricte!
Croyez-moi, je suis un empereur,
Celui qui vous donne la moitié de la terre!
Si j'étais le pape de l'Église,
Je vous donne le plus haut des cieux,
Où au paradis les femmes aiment
Régnez dans le royaume de Dieu!
Sans fin mon amour!
Oui, de tout mon cœur, je signe
Une alliance avec ma maîtresse,
J'irais en enfer aussi!
Que ferait le plus haut des cieux
Sans La-Bouche-Cupide?
Mais je suis en enfer
Se plaindre parce que tu ne m'aimes pas!“
Mais Isegrimm est revenu.
Du vol des travaux forcés:
„Ô ma femme! Quelle grande pauvreté!
O, nous devons avoir faim!“
Isegrimm s'est tourné vers Renard,
Pensa-t-il fièrement en silence:
Chaque baleine a son pou,
Chaque berger a son petit chien.
SIXIÈME CHANSON
Renard a regardé un fermier,
Il portait un gros jambon.
Renard s'y est mis à rire,
Léchant ses lèvres avec délectation.
Dit Renard au loup:
„Isegrimm, tu aimes le jambon, n'est-ce pas?“
Isegrimm avec ses fils
Dit: „Nous aimons manger de la viande!“
Donc Renard dans la rue
De haut en bas devant l'agriculteur,
Agissant comme si son dos était voûté,
Agissant comme s'il devait boiter, boiter.
Le fermier a-t-il crié des mots de colère?
S'il veut attraper le renard en toute hâte,
Il a fait tomber son jambon,
Dépêchez-vous de poursuivre Renard.
Mais Renard s'est enfui dans la forêt
Et a échappé au fermier sauvage.
Mais Isegrimm, en attendant,
Nourri de son gros lard.
Isegrimm le jambon entier
Manger seul avec envie
Et a oublié le camarade
Renard, qui a aidé si fidèlement.
Quand le fermier est venu sur place,
Où il a laissé tomber le jambon,
il a vu Isegrimm rassasié,
il entendit le rire du loup.
Il ne restait plus rien du jambon,
Ni le rouge, ni le blanc,
Isegrimm était bien nourri,
Et on se moquait du paysan.
Isegrimm a parlé au paysan:
„Que le bonheur soit pour mon camarade.
A qui je remercie ce jambon!“
Et de la forêt, l'écho a retenti.
Renard s'est approché plein de désir,
Plein de désir pour la chair,
Après le rouge, après le blanc,
Il a dit: „Maintenant, où est mon morceau de viande?“
Isegrimm a parlé à Renard de cette manière:
„Demandez à votre belle amie,
Si elle vous a sauvé quelque chose.
La viande est appétissante!“
Mais l'avidité fait sourire
Il a parlé à Renard, qui l'aimait:
„Faites le travail, pour l'amour de Dieu.
Avec plaisir, vous vous passerez de viande!“
Dit Isegrimm, le fort:
„O, j'ai soif. Vous avez du vin rouge?“
Renard a dit: „Votre serviteur.
Je vais vous chercher du vin rouge.“
C'est ce qu'Isegrimm a dit à Renard:
„Je suis votre serviteur pour la vie,
Si vous me procurez suffisamment de vin rouge
Pour la soif, la gorge fournira!“
SEPTIÈME CHANSON
Renard a mené le loup et la louve
Et les fils du loup sauvage
Au monastère, depuis la règle
De St. Benoit dirige l'ordre.
Et il a conduit dans la cave
Tout le monde aux barriques de vin rouge.
Isegrimm était bientôt ivre
Du noble sang du Christ!
Isegrimm, quand il était saoul,
Il s'est élevé au hurlement d'un loup,
Comment son père avait l'habitude de pleurer
A la chaste déesse de la lune.
Mais les moines de l'ordre
De Benoît et le Père
Réveillé par le hurlement du loup,
Tous des forestiers forts!
Écoutons le hurlement des loups
A la chaste sœur, la Lune,
A vous, frères forestiers,
Armez-vous de la hache et de la bêche!
Renard a entendu des moines arriver,
Il s'est tout de suite dépêché.
Mais Isegrimm a payé
Sa soif de vin rouge coûte cher!
Et pas seulement Isegrimm,
Mais les moines sont sérieux et stricts.
Ils ont aussi battu la cupidité
Et les jeunes loups sauvages.
Une récompense si peu aimable
La-Bouche-Cupide des moines forts
Pour le péché de leur boisson,
Qui a juste siroté un peu:
„On a un peu bu de vin rouge,
Déjà ivre à la livraison,
En regardant Isegrimm plein de braises,
La bouche de l'avarice qui brille de mille feux!
Mais voilà qu'elle se repent!
Je ne boirai plus jamais de vin,
Mais comme les frères de carême.
Je ne bois plus que de l'eau pure.“
Si malmené et battu
Isegrimm et La-Bouche-Cupide
Et les deux fils sauvages
Sortit en hâte du monastère en pleurnichant.
Et les deux fils ont dit
Au loup: „Notre Père!
Cette petite chanson à la pleine lune
Vous ne chantez pas à la bonne heure.
Notre Père! Comme un singe
Vous avez agi comme un idiot!
Que savez-vous de la vie?
Écoutez les fils pour une fois!“
Mais Renard est parti,
Il a entendu ces mots de fils,
Il a parlé au premier-né:
„Comment osez-vous parler à votre père?
Dieu a dit: Honore ton père.
Dieu a dit: Honore ta mère.
Oh, toi, rustre non arqué,
Oh, sale bâtard mal élevé!“
Seul Jésus est omniscient,
Soupir de Maîtresse La-Bouche-Cupide:
„Ah, le vin rouge était si cher
Et comme le remords est sec!
Mais qu'est-ce que j'ai péché,
Que mon fils parle si mal?
Tous les arts de l'éducation
Sera ruiné sur ce type!“
Mais Renard a parlé de réconfort
L'amant, sa dame:
„Ayez confiance, ô bien-aimée.
Ne laissez pas les cheveux gris vous pousser dessus!“
HUIT CHANT
Isegrimm a parlé tout écrasé:
„Malheur, malheur, ô ma femelle,
Vous devez devenir veuve,
Si je meurs de douleur ici!
Mon amour, mon amour,
Ma douceur, ma douceur,
Mes fidèles, mes purs,
Faites-moi confiance jusqu'à la mort!
Malheur, malheur, mes fils,
Mes deux garçons sauvages,
Faut-il être orphelin?
Dieu est le père des orphelins!
Mais votre douce mère
Restez avec vous, mes fils bien-aimés,
Guidez-vous à travers le pays de la vie!
N'obéissez qu'à votre mère !
Mon chère amie La-Bouche-Cupide,
Après ma mort prématurée.
Ne prenez pas un autre homme,
Chantez-moi des messes!“
Konrad a entendu cette plainte.
Il a parlé à Isegrimm, M. Conrad:
„Isegrimm, mon loup, mon cher,
Que signifie votre discours?“
Dit Isegrimm à Conrad:
„Je suis tout abîmé.
Et blessé au cœur,
Entendez l'heure de la mort approcher!
Le deuil de mon décès,
La-Bouche-Cupide, la femme,
Suivez-moi dans le royaume des morts,
On ne peut pas vivre sans amour!“
Dit Conrad, en souriant doucement:
„Votre femelle ne mourra pas,
Quand on meurt de chagrin,
Puisqu'ils ne vous étaient pas fidèles!
J'ai vu entre ses jambes
Mais que Renard l'aimait!
Humidifiez votre femelle, votre loup,
De l'amour de votre amie!“
Isegrimm a entendu le discours,
Gardez son cœur amer de douleur,
Et s'est évanoui de souffrance
Isegrimm, qui a été une grande déception.
Isegrimm savait-il dans sa tête
Pas que ce soit le jour ou la nuit,
S'il est toujours mourant
Ou s'il était mort vivant!
Mais Conrad a ri doucement.
Isegrimm a retrouvé la raison,
Dit Isegrimm à Conrad:
„Souffrir et mentir, c'est la vie!
Si je conseille ma femme,
Veux voir entre ses jambes,
Tu dois me prêter tes yeux,
Vous me prêtez vos yeux.“
Isegrimm à sa femme
La-Bouche-Cupide a dit:
„Conrad a dit que vous m'étiez infidèle
Avec le camarade Renard!“
Mais La-Bouche-Cupide a dit:
„Renard n'était plus là depuis longtemps.
Hier, il était là, mais aujourd'hui
Il n'a pas été avec moi,
Il sera de retour demain,
Mais ce que Conrad vous a dit,
N'écoutez pas le discours de Conrad,
Croyez-vous en mon innocence!“
NEUVIÈME CHŒUR
Renard s'est installé dans une hutte,
C'était dans cette forêt,
Pour vivre en ermite,
Pour prier, prier, prier.
Vers la cabane dans les bois
Portait-il un plat savoureux.
Isegrimm est venu à la hutte,
La souffrance lui a causé une grande faim.
Alors qu'il s'approchait du bosquet,
Son âme était troublée.
Mais Renard a invité le frère
Pour avoir mangé un poisson.
Isegrimm lui a léché les dents:
„O, ça sent dans la maison de la forêt
Si délicieux après l'anguille frite,
Est-ce que je veux m'inviter à des tables.“
Renard a parlé au loup avec un sourire:
„Les ermites sont toujours silencieux.
Quand ils sont assis à un repas
Et amenez l'anguille à la bouche.
Lisez toujours la Bible
Nous à un bon repas,
Invitez notre Seigneur à rester,
Demandez à Dieu sa bénédiction.
Après avoir mangé notre repas.
Prions le Seigneur dans les cieux,
Pour nous inviter à dîner un jour,
Aux noces du ciel!“
Isegrimm au frère Renard
Disant: „Ô Renard, veux-tu être moine,
Dédié à Dieu, vivez votre vie
Jusqu'à l'heure de votre mort?“
A déclaré doucement le frère Renard:
„Oui, l'expiation de mes péchés
Et pour l'expiation de tous les péchés
Et au confort de nos femmes!
Je vous demande aussi de me pardonner.
Je vous demande donc de faire preuve de clémence,
Ne me volez pas ma vie,
Parce que je dois encore expier mes péchés!“
Isegrimm au frère Renard
Dit: „Dieu vous a pardonné
Et je veux aussi te pardonner,
Accepte-moi comme ton frère!
Quand vous priez dans la Bible,
Chanter des psaumes et adorer Dieu,
Souvenez-vous d'Isegrimm, le frère,
Et à La-Bouche-Cupide, la sœur!
Pensez aussi aux fils pauvres,
Aux petits loups sauvages,
Enfermez-nous dans vos plaidoyers,
Que le ciel ait pitié de nous!“
Renard a parlé au loup avec un sourire:
„Venez, je vous invite à la table,
Ce qui restait était une anguille, une longue anguille,
Mettez cette anguille dans votre bouche.“
Isegrimm s'est ouvert avec avidité
Sa gorge a des dents pointues,
Frère Renard a poussé l'anguille,
Faites glisser l'anguille dans la bouche.
Isegrimm a parlé en riant bêtement:
„Frère Renard, aie pitié de moi,
Partez faire la cuisine dans votre hutte,
On dirait un bon rôti pour vous!“
A déclaré le frère Renard en souriant:
„Frère, tu seras dans l'Ordre,
Frère de l'Esprit libre,
Vous serez le maître du rôti!“
Frère Renard a parlé au loup:
„Maintenant, recevez aussi le baptême,
Maintenant, le baptême de l'eau!
Maintenant, le baptême du feu!“
Isegrimm a incliné son crâne
Bénie soit la piscine,
Le frère Renard s'est jeté sur lui
Maintenant son tete avec de l'eau chaude!
Et ses cheveux ont été brûlés.
Cria le loup: „Ah, malheur à moi, malheur à moi!“
Frère Renard a di : „Avec douleur
Vous méritez le paradis!
Ou pensez-vous que le paradis
Les chemins de la rose douce mènent-ils?
Couchez-vous sur un lit d'épines,
Cela ne mène qu'au paradis!
La grande stupidité apprend aux imbéciles,
Juste profiter des plaisirs,
La sagesse de Dieu enseigne aux pieux,
Qu'ils prennent le carrefour!
Alors maintenant tu es baptisé, mon frère,
Une fois avec le baptême d'eau,
Une fois avec le baptême du feu,
Frère sont de l'Esprit libre,
Que Notre-Dame aime
Vous conduire au jardin d'Eden,
Ouvrez votre porte étroite
Au paradis de l'amour!“
DIXIÈME CHANT
Dit Isegrimm à Renard:
„Maintenant que nous sommes les enfants de Dieu,
Dieu le Père va nous nourrir
Comme la mère la plus aimante?
Mais fini les anguilles
Et nous devons avoir faim,
Oh, je dois faire le deuil de ma misère
Dieu le Seigneur dans le royaume des cieux!“
Renard a parlé au pauvre loup:
„Cher frère, le mien en Christ,
Puisque nous n'avons pas de poisson,
Vivons d'amour!
Mais vous n'êtes pas encore si saint,
Vivre uniquement d'amour,
Je veux vous apporter du poisson.
Mangez du poisson jusqu'à ce que vous soyez malade.
Près de mon couvent en forêt
C'est un étang avec un miroir clair,
Il y a tellement de poissons là-dedans,
On ne peut pas les compter.
Ils sont donc allés à l'étang,
Aimer comme des frères paisibles,
Voyer dans les yeux,
Frères dans l'esprit libre.
Mais l'étang était gelé,
Au-dessus, le plafond est fixé par la glace.
Il fait si froid sur terre
Dans le froid hivernal sans amour!“
Et ils ont creusé dans la glace
Un trou vers l'eau.
Isegrimm, c'était aux dégâts,
Car c'était un fou et un homme stupide.
Renard était rempli de rage,
Il avait un seau avec lui,
Qu'il n'avait pas oublié,
Pour mettre Isegrimm en colère.
Renard a attaché le seau d'eau
Isegrimm à la pauvre petite bite.
Dit Isegrimm: „Au nom
De mon Dieu, qu'est-ce que cela signifie?“
Renard a parlé au stupide loup:
„Tiens ta queue, la longue,
Avec le seau d'eau vide
A travers le trou de glace dans les profondeurs!
Je regarde à travers les cristaux de glace
Mais les nombreux poissons savoureux.
Vous restez debout, vous ne bougez pas,
Poisson d'angle avec un seau.“
Dit Isegrimm à Renard:
„Cher frère amoureux,
Y a-t-il des poissons dans cet étang?“
Renard a dit: „Plusieurs milliers.“
Isegrimm, le loup stupide,
La queue a gelé dans l'eau froide,
La queue a gelé solidement sur la glace.
Car le gel est si peu aimable!
La nuit était froide et glaciale,
Renard n'a pas averti l'imbécile,
Isegrimm a gelé la queue.
C'est ce que Renard pensait de l'amitié.
Dit Isegrimm à Renard:
„O ce seau d'eau vide
Tirer sur ma bite si fort,
Je ressens une très grande douleur!“
Mais Renard a parlé au loup:
„Mais dans le seau d'eau.
Trente poissons sont en mouvement,
Il doit y en avoir une centaine d'autres.“
Mais à l'heure du matin
Renard se moque du loup Isegrimm:
„Il y a une centaine de poissons là-dedans maintenant,
Tirez la queue, la longue!“
Mais Isegrimm, moqué,
Il était hors de lui avec rage,
Mais la chaleur de sa colère
Ne pas pouvoir faire fondre la glace.
Donc, s'il voulait s'échapper,
Il a fallu arrêter la queue.
Le loup a donc perdu sa queue,
Il a laissé sa bite dans le trou de glace!
ONZIÈME CHANT
Renard est venu dans un monastère,
Il y avait des moines pieds nus dedans,
Il y avait des poulets dans la cour,
Délicieux poulet frit!
Renard est entré dans la cour,
Au milieu se trouvait un puits,
Renard a regardé dans le puits,
il a regardé son image dans le miroir.
Quand il a vu son image dans le miroir,
Renard a parlé à son âme:
„C'est toi, ô esprit renard,
O bien-aimé de mon âme?“
Et par amour un fou
Il a sauté dans le puits profond.
Il a nagé dans l'eau sombre,
Assis sur un rocher dur.
Isegrimm est arrivé sans queue
De la forêt au monastère,
Il est venu à la fontaine ronde
Et très surpris, l'imbécile.
Isegrimm a examiné le puits
Et il a vu son image dans le miroir,
Je pensais que c'était La-Bouche-Cupide,
L'épouse de sa vie.
Et il est devenu fou d'amour
Et l'a dit à sa femelle,
Comment il a perdu sa queue
Et combien le monde est mauvais!
Isegrimm a appelé en hurlant
Dans les puits sombres et profonds
Et l'écho lui répondit,
Comme si La-Bouche-Cupide pleurait.
Mais Renard a parlé à voix basse
Du fond de ce puits,
Puis parla Isegrimm, l'imbécile:
„C'est vous, frère Renard?“
Renard a dit: „Mon âme
Écoutez, mort est déjà mon corps,
Je suis déjà dans le royaume des cieux,
Le paradis du septième ciel!
Mais vous, je dois avoir pitié,
Vous vivez toujours sur un terrain sombre.
Je suis déjà au paradis,
Au paradis de l'amour!
Ici, je suis un sage professeur,
Et les enfants à naître
Ce sont les élèves de mon école,
Apprenez la sagesse de Dieu ici!
Voici une joie si douce,
Quelles douces femmes de paradis!
Les poètes ne peuvent pas dire cela,
Que l'amour est béni!“
Puis parla Isegrimm, l'imbécile:
„Frère Renard, La-Bouche-Cupide
Je la vois même au paradis
Avec vous, votre douce amie!
Comment se fait-il que La-Bouche-Cupide
A votre place dans le jardin d'Eden?
La-Bouche-Cupide au paradis de l'amour
Il vit avec vous au paradis?
Mais pourquoi ses cheveux
Si brûlé et si rasé
Comme par le versement d'eau chaude,
Comme des torrents de feu mouillés?“
Dit Renard à l'imbécile:
„Seul le purgatoire a fait cela,
Vous pouvez le voir sur moi aussi,
Le feu nous a nettoyés.
Ne sais-tu pas, mon pieux frère,
Que les fidèles comme morts
Devoir passer par le purgatoire?
Le Christ purifie leurs âmes!
La-Bouche-Cupide et le frère Renard
Brûlé dans le même incendie,
Dans le septième cercle,
Là, la sensualité est purifiée.“
Renard a parlé, mais il voulait
Lever du puits sombre,
Il a parlé à Isegrimm le fou,
De telles paroles de sa sagesse:
„Cet endroit est plein de joyaux,
Or et cristaux de verre,
Jaspe transparent, jade,
De pures perles de coquillages!
Et au ciel, les agneaux attendent
Au dîner de noces de l'Agneau
Et le vin de la vigne
Boire dans le ciel!
Les loups sont au paradis,
Encore plus beau que La-Bouche-Cupide!
Les loups, pleins d'amour,
En attendant l'amour du loup!“
Isegrimm a immédiatement exigé,
Pour aller au paradis.
Renard a parlé au loup, à l'imbécile:
„Asseyez-vous dans le seau à l'étage.“
Mais ci-dessous, le frère Renard
Il s'est également assis dans le seau.
Isegrimm s'est vite effondré,
Renard est monté en hâte.
Qui se sont rencontrés au milieu,
Les mots ont donc changé:
„Où vais-je?“ dit l'imbécile.
L'astucieux a dit: „Au diable!“
C'est ainsi que Renard Fuchs est apparu,
Retour à la forêt à pied.
Isegrimm dans la bouche de l'enfer
Souffre d'une très grande angoisse!
Mais quand les moines aux pieds nus
Le chant est venu jusqu'au puits,
Ils ont vu le loup, le fou,
Les moines l'ont remonté.
Les moines l'ont remonté,
Pour lui donner une bonne raclée,
Il le frappe comme un chien,
Chassez-le de leur couvent.
Isegrimm à sa femme
La-Bouche-Cupide est venue en lamentation:
L'avidité, l'avidité, la bouche
A qui donnez-vous votre corps?
O La-Bouche-Cupide,
Renard m'a trompé
O La-Bouche-Cupide,
Renard est mon rival!“
DOUXIÉME CHANT
Isegrimm à La-Bouche-Cupide
Dit: „Pourquoi pleurez-vous, femme?
Offrez votre cher corps
Mais plus pour le frère Renard!“
Mais La-Bouche-Cupide s'est plainte:
„Ah, comme je vis sans amour!
Je suis privé de la vie
Sans le plaisir de l'amour!
Malheur, malheur c'est moi, mon petit homme,
Mon mâle est maintenant sans queue!
Qu'est-ce que je veux que mon homme sans queue?
Oh comme je suis malade d'amour!“
La-Bouche-Cupide s'est donc plaint.
Isegrimm était désespérément pressé
Au camp de paresseux de Renard,
Où il gisait dans une douce oisiveté.
Mais du concours d'amour
Il a entendu parler d'un lynx, un jeune.
Il a été attristé par cette compétition,
Mais le lynx avait deux pères,
Prêtre le loup comme son père,
Prêtre Renard comme son père.
Parlait tristement le lynx, le jeune,
Alors à Isegrimm le Loup:
„Isegrimm, mon loup et mon père,
Pourquoi poursuivez-vous mon père en justice,
Renard, le parrain,
Mon pieux parrain?
Je suis de la famille des loups.
Et je suis aussi de la famille des renards.
Dites ce que vous vous disputez,
Et je vais vous réconcilier.“
Répondit Isegrimm au lynx:
„On pourrait dire beaucoup de choses.
Écoutez mon discours de lamentation,
Ce que Renard m'a fait.
Aujourd'hui, je dois me faufiler sans queue,
Je suis un loup, mais il me manque la queue.
Même La-Bouche-Cupide, ma femme,
Elle a pris son frère Renard avec délectation.
Si Renard Fuchs était également coupable
Je perds ma bite,
Si seulement je pouvais lui pardonner,
J'en avais assez de la bite,
Mais que le frère Renard
À La-Bouche-Cupide, ma femme,
Elle se recoud dans leur campement,
Je ne peux pas lui pardonner cela!“
TREIZIÈME CHANSON
Isegrimm est venu avec la foule
Ses compagnons sauvages.
Il aimerais chanter un rôle,
Bien que sans boucliers.
Là, l'éléphant, le gros,
Là, l'élan avec les bois,
Les deux semblaient à Renard gigantes,
Plus grand que même les montagnes.
Là, la biche avec le cerf,
Randolf était le nom du cerf,
Les deux amis d'Isegrimm,
La vie royale dans la forêt.
Faire revenir l'ours et aussi le sanglier,
Ils sont amis avec Isegrimm,
Tous les grands animaux forts
Étions amis avec Isegrimm.
Mais Renard a pris des amis
Grimmbart, qui était un petit blaireau,
Personne n'a jamais quitté l'autre,
Amis jusqu'au jour du mort.
Là aussi, le lapin, le doux,
Le père Conrad est éloquent
Et beaucoup d'autres petits animaux,
Je ne peux pas les nommer tous.
Isegrimm, qui a considéré
Il a amené un cabot à proximité,
Le charme était le nom du jeu,
Celui que le loup a apporté.
Par les dents de ce cabot.
Renard devrait-il convoquer
Qu'il n'est pas coupable d'infidélité
Avec la femme du loup.
Le conseil est venu de l'ours brun,
Ce Renard a entendu avec des oreilles,
Celui-là connaissait beaucoup de listes
Comme le rusé Ulysse.
Grimmbart, le blaireau, a parlé à Renard:
„Ô mon très cher parrain,
Renard, méfiez-vous des stimuli,
Attention au chien!
Parce qu'il est là, allongé, faisant semblant de dormir,
Mais si vous marchez devant lui,
Il mord avec des dents pointues.
Ce n'est pas une saine leçon.“
Mais maintenant, le jeune lynx a parlé:
„Ô mon parrain Renard,
Jurez sur les dents du cabot,
Charm nous en témoignera,
Que vous avez donné à mon cher père
Isegrimm n'a pas pris la femelle,
Sa femme La-Bouche-Cupide
Pas courtisé en amour!“
Renard a parlé au blaireau, au lynx:
„Si le monde était aussi fidèle
Comme j'ai fidèlement marché
Devant le Dieu de mon amour!
Mais vous savez ce que je regardais?
Charms n'est pas mort, il est toujours vivant,
Je préfère faire une sortie précipitée,
Ne laissez pas les charmes me mordre.“
Renard s'est donc enfui dans la forêt.
Et les grands animaux ont parlé:
„Regardez, le frère Renard s'est enfui,
Fini la gourmandise!“
QUATORZIÈME CHANT
Isegrimm a dirigé un cours,
Il est parti, suivi de La-Bouche-Cupide,
La-Bouche-Cupide voulait punir
Votre ami et frère Renard,
Recherchait son ami et son frère,
Laissez le chien mordre,
Isegrimm, le loup, pour la joie,
Á votre homme de confiance.
Renard savait probablement ce qui était délicieux,
Et ce que le renard aime
Et il a frappé la queue du renard
Par la bouche de La-Bouche-Cupide.
O bien-aimée, o bien-aimée!
Il a appelé en riant, à la hâte
Au château où il vit,
C'était un joli trou de blaireau.
Là, le frère Renard a rafraîchi
Son corps par le repos.
Mais La-Bouche-Cupide, sa Maîtresse,
Elle s'est également précipité vers le trou du blaireau.
Mais Maîtresse La-Bouche-Cupide
Avait grossi entre-temps,
Elle s'est retrouvée coincée dans l'entrée,
Elle est resté coincé dans l'entrée étroite.
Renard par la sortie arrière
Rire précipité du trou du blaireau,
Mais les coutures de sa maîtresse
La-Bouche-Cupide par derrière encore une fois.
La-Bouche-Cupide a offert la crosse
De ses yeux, il a ri:
„Des fesses hautes et puissantes!“
Il lui a donc sauté dessus.
L'avidité mord dans le zèle
Dans les pierres du sol!
Puis vint Isegrimm, le mâle,
Isegrimm était plein de colère!
Vite, le Renard rouge s'est échappé!
Isegrimm avec ses fils
Atteinte de La-Bouche-Cupide. elle a
S'élancer hors du trou étroit.
A déclaré Mme La-Bouche-Cupide:
„Renard m'a trahi!
Mais Renard s'est de nouveau approché,
Il a dit: Je suis sans péché!
Mon ami le plus cher,
J'ai même essayé d'entrer dans ma grotte,
Son estomac s'est coincé dans l'embrasure de la porte,
Je lui ai réservé un accueil chaleureux!“
Mais Isegrimm, le mâle,
A parlé à la femme La-Bouche-Cupide:
„Nous en sommes déjà à notre dixième année
De notre fidèle mari et femme.
Maintenant, Renard s'est moqué de nous!
Ah, qu'il soit devenu notre ami!
Quelle amitié en effet,
L'un d'entre eux est-il un tricheur!“
L'épouse La-Bouche-Cupide a pleuré,
Isegrimm, le mari, pleurait,
Les deux garçons sauvages aussi
Pleurer et gémir: „Malheur, malheur!“
Renard a parlé au loup:
„Allez-vous partir, ami et frère,
Alors, laissez-moi l'ami de La-Bouche-Cupide,
Qu'elle me serve toujours.“
QUINZIÈME CHANSON
Le pays était en paix,
Depuis l'outrage du roi,
L'iniquité du roi, le roi lion,
Le roi de toutes les bêtes sauvages.
Le roi Noble était le juge
Tous les animaux dans le plat,
Mais même injuste,
C'est pourquoi ils l'ont appelé Roi du Mal.
Mais les malades devinrent l'iniquité du roi,
Son esprit en est devenu malade.
Je vais vous dire comment cela s'est passé,
Je veux juste rapporter la vérité.
Une fois qu'il est venu à la colonie de fourmis,
Il a parlé à la colonie de fourmis:
„Pas le reine des fourmis,
Je suis votre chef!“
Mais les fourmiliers sont occupés
Loyal envers sa reine,
N'a pas suivi les iniquités du roi,
Ce dirigeant injuste.
Noble était maintenant en guerre
Contre les gens détestés,
Il a détruit leurs châteaux
Et a étranglé leurs guerriers.
Et puis le dirigeant est parti.
Et le château des fourmis était en ruines.
A vu la reine des fourmis
Aux ruines de la misère!
„Malheur, malheur à vous, mon peuple.
Mais la vengeance de Dieu arrive!
Je vous rembourserai votre misère
Du dirigeant injuste.“
Et la reine des fourmis
Se faufiler dans l'iniquité du roi,
Qui sommeillait dans le fourré.
Elle a réfléchi à la vengeance de la reine:
„Si je mords la méchanceté du roi,
Si je le mords à mort,
Puis-je prendre ce gros coup?
Je ne les traîne pas dans mes châteaux.“
La reine des fourmis a-t-elle rampé
Dans l'oreille du sacrilège du roi,
Dans l'oreille du Roi Noble,
Elle le tourmentait comme un petit parasite.
Désormais, le Roi Noble tourmentait l'iniquité
Terrible, le pire des maux de tête,
Il criait toujours: „Malheur, malheur!
Malheur aux personnes lésées!
Pour le châtiment de mes péchés
Cette maladie maléfique me torture!
Mais aujourd'hui, je me repens,
Devenez un juge équitable,
Faites désigner un tribunal,
Je serai le juge de Renard,
Je veux punir Renard,
Suspendez Renard à la potence!“
SEIZIÈME CHANSON
Le sacrilège du roi pour juger
Invites les bêtes sauvages tous.
L'ours brun est arrivé en courant,
Isegrimm avec La-Bouche-Cupide,
Des bois est venu le sanglier,
Le cerf est-il venu avec sa biche,
Le guépard et la panthère sont arrivés,
Antilope et gazelle,
L'hermine, la belette,
Le chat et la souris sont venus,
Le chameau et la girafe
Et l'éléphant, le gros,
Et beaucoup d'autres animaux.
Et enfin, Grimmbart,
Grimmbart blaireau, le petit fidèle
Filleul de l'oncle Renard.
Braun l'ours a élevé la voix:
„Je veux poursuivre Renard en justice!
Isegrimm, le loup et son mari,
Il lui a arraché la queue, la plus longue,
Et a profané le mariage,
Campement matrimonial
Chez l'épouse La-Bouche-Cupide,
Un terrible péché à commettre!“
Isegrimm a élevé la voix:
„Ah moi, le plus pauvre des loups.
J'ai perdu ma queue.
Et l'innocence de ma femelle!
Je peux me passer de la queue,
Mais qui fait l'innocence
Et la pureté de ma femelle,
L‘innocence de mon chaste loup?“
Puis Grimmbart a élevé la voix:
„Entendez-moi! Mon parrain
Renard est sans péché
De L'iniquité de l'adultère!
Parce que la louve La-Bouche-Cupide
Elle est beaucoup plus fort que Renard,
Maintenant, quand elle le met dedans,
Seulement parce qu'elle le voulait.
Mais même s'il a péché,
Mon parrain bien-aimé,
Moi, son filleul, je prends
Sur moi de la sanction judiciaire.
Je supporterai toute punition,
Parce que j'ai dit à mon parrain
Le don du baptême remercie,
Dit Grimmbart blaireau, le petit.
Ranholt le cerf a élevé la voix:
„Renard a été appelé,
Il sera là dans sept jours,
Lorsque le verdict est rendu.
Mais écoutez mon avis:
Renard mérite le verdict,
Cela le condamne à mort,
Attachez-le, le coupable!“
DIX-SEPTIÈME CHANT
À la cour du sacrilège du roi
Le coq s'est-il levé, Schantekleros,
Avec la grosse Pinte la poule
Et avec un poussin mort!
„L'iniquité du roi, le roi lion!“
Schantekleros a élevé la voix:
„Voici ma douce fille,
Renard l'a mordue à mort!“
Et le père Schantekleros
Dit son lamentation: „Ma douce fille!“
Et la mère Pinte dit
Son lamentation: „Ma fille la plus chère!“
Mais Braun l'ours était un prêtre,
Maintenant, déposez ce poussin dans sa tombe:
„De la poussière à la poussière,
Des cendres aux cendres!“
Et ils s'enfoncèrent dans la terre
Creusez le poussin mort.
Braun l'ours dit, le prêtre:
„Dieu, accorde-elle la résurrection,
La résurrection des morts
Et le bonheur du ciel!
Laisse-elle voir, Dieu, ton visage,
Vivez au paradis!
Et elle est donc enterré
Ce pauvre poussin mort,
Mettez-la sur le cercueil, le petit,
Un oeillet rouge flamboyant.
Sur la tombe du doux lièvre
Mais la douce dormait,
Jusqu'à ce que les cloches sonnent fort
L'a tiré du sommeil.“
Le lapin a élevé la voix:
„J'ai vu dans le rêve de façon prophétique
L'âme de ce petit poussin
Ressusciter d'un cadavre
Et s'envoler vers les lunes célestes
Et se reposer au bord de la mer de la tranquillité,
Trouvez la tranquillité d'esprit,
Tu es bénie entre toutes les femmes!“
Et les bêtes sauvages toutes
À genoux devant la tombe
Les restes d'os avant le poulailler
Et unis dans la prière:
„Poussin, bien-aimée, sainte,
Si vous êtes dans le royaume des cieux,
Priez pour nos âmes
Et pardonnez au frère Renard!“
DIX-HUITIÈME CHANSON
Le blaireau Grimmbart a été envoyé,
Pour convoquer Renard au tribunal.
Grimmbart était censé être le messager,
Même si cela lui coûte la vie.
Roi Noble s'est entretenu avec Grimmbart,
Que Renard donnera une récompense pour le messager:
„Toi, ton cher parrain,
Si vous l'appelez au tribunal.“
Tous les animaux sauvages ont ri
Sur les peurs de l'âme de Grimmbart,
Mais Grimmbart était plein de chagrin,
Car il tremblait pour Renard.
Le blaireau Grimmbart se promenait dans les bois,
Il est venu voir son parrain.
Maintenant, écoutez le conte pieux
De la vengeance du Renard!
La porte du château de Renard s'est approchée de Grimmbart.
Renard s'est réjoui du fond du cœur,
Quand il a vu le filleul,
Rires: „Grimmbart est arrivé!
Grimmbart est venu à moi!
Bienvenue, filleul!
Dites-moi ce qu'elle a fait au tribunal.
Le Noble blasphème Renard.“
Grimmbart a parlé à Renard de la manière suivante:
„L'iniquité du roi de la haine
Menacez-vous, cher parrain,
Il veut vous pendre à la potence!
Dans l'iniquité du roi,
Que vous vous éloignez en exil
Et seul en exil,
Ou vous irez à la potence!
Mais si vous venez au tribunal,
Isegrimm vous poursuivra en justice
Et les bêtes sauvages toutes
Vous serez condamné à mort!“
Renard a dit à Grimmbart:
„Je ne quitte pas la maison,
Non, je ne serai pas banni
De la patrie, l'Allemagne.“
Et ils se ont assis et ont mangé,
Il a bien mangé et s'est régalé,
Renard a également apprécié les raisins
Avec la fleur de vigne rouge.
Après le repas à table
Renard s'est levé,
Il est allé dans son placard,
Le chapeau du pèlerin
Avec la coquille sur le chapeau,
Il a tiré sur son manteau violet,
Il a pris un sac de médecin,
Les plantes médicinales et les pilules.
Et il y est allé en tant que guérisseur de fantômes,
La sagesse par la tradition
Le temps vieux des Chinois,
Les maîtres sont ceux des arts de la guérison.
Les pilules étaient-elles dans le sac
Et le personnel dans sa main droite,
Deux serpents se tortillaient avec férocité
Pour le personnel, le signe des arts de la guérison.
Renard avec le filleul
Il s'est maintenant déplacé à travers les bois sombres.
Renard a frappé le signe de la croix:
„Que Dieu nous sauve du mal“
DIX-NEUVIÈME CHANSON
Renard est venu au roi Noble,
Dit: „Majesté de la maladie!
Moi, le guérisseur, je suis venu,
Pour vous délivrer du mal!“
Le roi Noble est rugi de colère:
„Ah, la douleur est si cruelle!
Comment allez-vous guérir le roi
Du mal de sa maladie?“
Renard a élevé la voix:
„Les sages des Chinois
Il m'a enseigné une médecine secrète,
C'est un guide de l'initié.
Mangez un poulet frit,
Ajouter du pain blanc et de la sauce.
Si vous voulez du poulet frit.
Un pigeon voyageur pour votre repas!
Alors je vais préparer des médicaments,
Il faut un bec de sein pour ça!
Je vais le réduire en poudre,
Elle est dissoute dans l'eau.
J'ai besoin de plumes de corbeau.
Parce qu'avec des plumes de corbeau noir
Et les piquants pointus
Je pique les terminaisons nerveuses.
Alors il me faut la fourrure du chat!
Pour vous frotter la fourrure,
Donc électrique et magnétique
Pour booster votre énergie.
Alors il me faut la patte du loup!
Car de ses graines mâles
Je tire la force vitale,
Pour renforcer votre pouvoir en vous.
Alors vous devez vous raser la tête
Marron à l'ours, que le prêtre
Avec la coiffure du moine en Russie
Pèlerins, priez pour vous là-bas!“
Ainsi, le frère Renard a enseigné
La sagesse chinoise ancienne
Initiation aux arts de la guérison.
Le roi Noble croyait tout cela.
Mais tous les animaux sauvages
S'est enfui précipitamment de la cour!
Tout le monde était mort de peur,
Ils avaient peur du châtiment de Dieu!
VINGTIÈME CHANSON
Chuchota Renard à Grimmbart:
„Je ne sais pas si le roi Noble
Par la médecine est saine,
Mais ma vengeance est faite!
Fuyons, mon filleul,
De la colère de la méchanceté du roi!“
Ainsi, le parrain
S'enfuir avec le filleul.
Une errance solitaire sur le chemin
Filleul et parrain,
Loué soit la grandeur de Dieu, loué
De Notre-Dame Marie.
C'est ainsi que se termine le conte de fées,
Que je me suis chanté en silence,
Être dans le grand amour
Pour me donner un sourire.
Oui, je pense comme Dante:
J'irai au paradis de Dieu,
Les beaux anges me saluent
Aimer avec mes vers!
Je désire de mon Dieu
Jésus-Christ, une seule chose:
Que j‘était une fois au paradis.
Chantez pour Maria!
Notre Dame Marie
Attendez l'étoile du matin,
Je vis sur l'étoile du matin,
Est-ce que je porte la couronne de la beauté,
Je chante comme un chanteur d'amour
Notre-Dame Marie!
Dieu me pardonne tous mes péchés,
Que Jésus ait pitié de moi!